Archives de Catégorie: Dedicaces

Egalité mon oeil

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Anne Van der Linden et Chantal Montellier seront présentes à l’exposition Egalité mon oeil !,  mardi 8 mars 2016, de 14 à 17h pour une séance de dédicace

Espace Oscar Niemeyer, 75019 Paris metro Colonel Fabien
https://www.facebook.com/events/202933650059419/
« Aujourd’hui, les femmes sont sous représentées sur la scène graphique française et internationale, et ce malgré une présence majoritairement féminine dans les écoles d’art et de graphisme. Combien de directrices artistiques, de commandes publiques confiées à des femmes, de femmes graphistes sélectionnées dans les biennales ou exposées dans les lieux consacrés ? »
L’association  Artemisia partage le constat (sic) et s’associe pleinement à l’appel !!

Chantal Montellier dédicace Le Procès

montellier procèsLa Librairie Goscinny vous invite à rencontrer Chantal Montellier pour une séance de dédicaces, jeudi 10 décembre, à partir de 18h :

« Le Procès de Kafka, adapté par David Mairowitz et dessiné par Chantal Montellier, est enfin disponible en français (éd. Actes Sud BD).

Il fallait tout le talent et la personnalité de Chantal Montellier pour mettre en images ce chef d’oeuvre de la littérature contemporaine. Et ses images sont de celles que l’on n’oublie pas ! »

Librairie Goscinny :

5 bis rue René Goscinny, 75013 Paris

Métro/RER Bibliothèque Mitterrand

Renseignements : 06 10 82 65 18

Chantal Montellier au salon du livre

Chantal Montellier sera elle aussi en dédicace au Salon du Livre, sur les stands de La Boîte à Bulles et d’Actes Sud, le samedi 15 et le lundi 17 mars de 10h à 17h.

Elle signera Sorcières mes sœurs (La Boîte à Bulles) Tchernobyl mon amour, ainsi que la toute récente réédition d’Odile et les crocodiles (Actes Sud).

 

Ce dernier album a eu une presse abondante et enthousiaste :

« Et si c’était Montellier la Duras de la BD ? »

Les Inrockuptibles

 

« Le propos et son côté psychédélique fascinant méritent d’être partagés par le plus grand nombre »

Métro

 

« Jamais l’expression « jungle urbaine » n’a mieux convenu qu’à cette anti-odyssée dans les bas-côtés sombres, sans issue, de la ville. Mais ce réalisme cru est un leurre : constamment parasité, et enrichi, par les images mentales de l’héroïne, il est parsemé de symboles cinglants et déjoué par les subtilités d’une remarquable marqueterie narrative. (…) L’artiste impose ici à la militante cette lucidité mordante qui est l’apanage des meilleurs romans noirs. »

Télérama

 

Sans oublier la chronique qu’Anne Bleuzen lui a consacrée sur Parutions.com

Lire la chronique