Femme et d’origine africaine, encore moins facile de trouver sa place. Christophe Cassiau-Haurie propose un article intitulé « Les femmes peinent à percer les bulles » sur le site « africultures« . Autour du succès des trois tomes Aya de Yopougon, création de Marguerite Abouet, scénariste ivoirienne et membre du jury de l’association Artémisia, l’auteur de l’article s’intéresse aux bandes dessinées faites par des femmes africaines. Le contenu de cet article est accessible ici.
Chapeau de l’article : Les femmes peinent à percer les bulles
Le jury du prix Artémisia 2008 de la bande dessinée féminine a été attribué en janvier à Johanna (1) auteur de Les âmes sauvages chez Futuropolis. À cette occasion, les organisatrices ont dressé une liste de 152 noms de professionnelles du dessin et de la bande dessinée (2) Seuls deux noms y représentaient l’Afrique : Marguerite Abouet, scénariste ivoirienne des trois tomes de Aya de Yopougon (qui faisait aussi partie du jury) et, Jenny, auteur de manga d’origine malgache, pratiquement les seules femmes africaines à avoir pu percer dans le monde très masculin du 9ème art.